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09/01/2025

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Agression violente: La police encore condamnée

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Agression violente à Châtelet : 7 mises en cause écrouées

Encore un fait-divers dont la population de cette petite bourgade se serait bien passée en ce jeudi 9 janvier 2025 à l'aube de la nouvelle année: En effet, en ce jour aux alentours de 6 heures du matin, alors que Julia S, résidente d'un centre-ville en périphérie de la banlieue Parisienne commence sa journée avec un peu sport en courant sur son tapis de salon, un individu que l'on nommera "François" pour des raisons d'anonymat pénètre son domicile et l'agresse violemment, lui arrachant sa maigre tenue en tentant à plusieurs reprises de la poignarder avec une arme blanche.

"Habitant seule et sans enfant, j'ai l'habitude d'être peu voire pas vêtue chez moi même en cette saison car mon logement est relativement bien isolé. J'aurais dû y penser, il est vrai que j'ai fait preuve d'inadvertance car je suis nouvelle dans la ville" nous confie la victime.

La victime réussit néanmoins à échapper à son assaillant en passant par la fenêtre de sa cuisine située au rez-de-chaussée avant de prendre la fuite malgré ses blessures.

Sauvetage "in extremis" en pleine rue

Un passant se rendant sur son lieu de travail aperçoit la scène et agit immédiatement, se portant au secours de la victime sans plus de réflexion, suivi par six autres individus qui s'interposent entre la victime et son agresseur continuant de la poursuivre, le sexe à l'air et en érection.

"C'était digne d'un mauvais film. Au début j'avais peur et ai pensé à m'enfuir en pleurant, mais quand j'ai vu plusieurs personnes commencées à intervenir, je ne voulais pas rater l'occasion d'un bon real pour instagram" raconte l'un des intervenants à notre équipe.

Une équipe mobile de la police nationale arrive rapidement sur place pour interpeller l'individu déjà maitrisé par les passants.

Une interpellation qui tourne au drame

Au moment d'appréhender le suspect, ce dernier se débat et réussi à saisir l'arme de service de l'un des fonctionnaire, vidant le chargeur au hasard sur les personnes présentes sur place, faisant ainsi 4 morts dont deux civils et deux des quatre policiers présents sur place.

Malgré ces faits, le reste des effectifs de police accompagnée des passants réussirent à mettre hors d'état de nuire le suspect, menant à son interpellation.

Les services de secours sont également appelés sur place, constatant les nombreux décès ainsi que leurs violences.

Une réponse disproportionnée

Après une garde à vue prolongée de 72 heures pour l'ensemble des intervenants survivants, ainsi qu'une enquête interne de l'IGPN (L'inspection générale de la police nationale) concernant les manquements des effectifs ayant pris parti des faits, la justice intrinsèquement impartiale nous a fait parvenir les éléments suivants : L'auteur dont le lourd casier judiciaire témoigne de ses antécédents d'extrêmes violences, portant par ailleurs une mention pour "triples homicides sur mineurs âgés d'entre 4 à 12 ans" (Les faits ayant eu lieu en 2023, la juge d'application des peines décida de le libérer sans condition pour favoriser sa réintégration), était placé sous mandat d'arrêt international et recherché par plus de 35 états à travers le monde.

Son avocat témoigne

"Celui que tout le monde décrit comme étant un criminel dangereux, multi-récidiviste et irrécupérable n'est qu'une pauvre victime du système dont le parcours pour réintégrer la vie civile en toute tranquillité fût grandement perturbée par les faits survenus [..] Lui et moi, ainsi que le procureur de la république avons décidé de porter plainte contre l'état ainsi que tous les intervenants pour avoir bafoué les droits d'égalités fondamentaux humains que composent la constitution... Liberté, égalité, fraternité !"

Des sanction en deça et une justice trop laxiste

"Je suis vraiment, mais vraiment déçu de notre justice actuelle, sans pour autant en être surpris car je commence vraiment à en avoir l'habitude à force de regarder la télévision"
Mathieux D, l'un des témoins du drame

Peines de prisons trop faibles, justice trop molle, honte monumentale: voici comment est décrit le compte-rendu du procès des survivants de l'événement tous coupable d'acharnement sur "un pauvre individu incompris, n'essayant simplement que d'exprimer son désarroi face à sa situation injuste"

La victime, Julia S, à décidée de partager son ressenti à l'issue du procès : "Je ne comprends pas cet élan de violence de la part de la population et de la police.. S'en prendre violemment à un individu sans défense qui a sûrement ses raisons, ça aurait pu arriver à n'importe qui... J'aurais dû fermer à clef, c'est entièrement de ma faute".

Conclusion du tribunal

5 ans de prison dont 36 mois ferme avec mandat de dépôt pour trois des cinq individus (encore vivant) ayant sauvagement interpellés l'assaillant, et 8 ans ferme pour les deux autres l'ayant illégalement séquestres en l'attente de l'arrivée des forces de l'ordre.
"Il s'est sentie comme violé dans sa liberté de mouvement, incapable de bouger pendant une très longue demi-heure en attendant l'arrivée des forces de l'ordre, vous imaginez ?"
Avocat de la partie civile

Pour ce qu'il en est des policiers n'ayant pas été tués lors de l'interpellation, ils n'en sont pas en reste avec des peines allant de la simple interdiction d'exercer à vie à des peines de prison à perpétuité pour "réponse disproportionnée" (l'un d'eux ayant bousculé le suspect en lui disant "ta gueule").

Julia S. quant à elle, fut condamnée par le tribunal à une amende forfaitaire de 350€ pour nudité en lieux privés et une peine de prison de 6 mois avec sursis pour les même fait car "ayant incités au crime"

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